Intersections Queer est une association fondée en 2021 par un groupe diversifié de personnes trans et racisées en France. Notre association s’inspire des outils d’éducation populaire pour inventer des chemins de résilience innovants qui inclut des communautés marginalisées (queers, racisées, en situation de handicap, précaires…). Nous œuvrons à la création d’un environnement propice à l’enracinement et à la cultivation des réseaux locaux et globaux, et à la création d’un refuge d'empouvoirement pour nos communautés. Ce “Home” est ancré dans un espace collectif ; une grande maison en milieu rural, équipée d’un jardin, salle de pratique, chambres, propice à la création de projets, au repos, aux résidences et aux initiatives populaires. Tout au long de l’année, des événements sont conçus et sélectionnés par et pour les populations minorisées, axés sur la justice en termes de race, de genre, et d’handicap ainsi que la justice restaurative. Il s’agit d’un espace dynamique de réflexion, d’actions et de partages autour du soin, de la pensée critique, de la construction de nos communautés, de la recherche collaborative, et de l’expression individuelle.

• L’écologie intersectionnelle : Penser l’écologie au sens profond. Soutenir les personnes minorisées vivant en ruralité (souvent isolé.es de par leur expérience intersectionnelle), et faciliter l’accès à la campagne pour les minorités urbaines (statistiquement privé.es d’accès aux espaces ruraux). Centrer et réfléchir leurs expériences en termes d’interdépendances, d’écosystèmes et du politique.

• La résilience communautaire : Créer des voies résilientes pour les communautés marginalisées en favorisant des réseaux de coopération et de solidarité. Ancrer notre présence et solidifier nos liens avec les membres des communautés marginalisées existantes. Construire des Communs matériels et idéationnels (techniques, outils, pratiques) qui soutiennent des pratiques de vie pérenne et inclusives, en adoptant une approche globale et systémique, qui intègre écologie, inclusion et justice sociale.

• L’éducation populaire : Développer des alternatives sociales et écologiques basées sur le trial-and-error et l'éducation populaire. Créer un environnement propice au partage des ressources matérielles, communautaires et intellectuelles. Soutenir l'appropriation des espaces politiques par les personnes minorisées et valoriser les savoirs marginalisés. Inviter des expert.es à partager leurs connaissances pour ainsi créer un cercle vertueux d’empouvoirement via le savoir collectif, et lutter contre les inégalités de savoir.

• La recherche : Mener une recherche active sur l’avenir des populations stigmatisées dans un monde de plus en plus capitaliste et autoritaire. Bâtir des passerelles entre les luttes locales et les mouvements globaux, entre théorie pédagogique et militantisme pratique ; contribuer à la lutte contre les injustices et promouvoir les transformations structurelles. La réflexion continue sur les formes de gouvernance. La prise de décision et le travail au sein même de notre collectif constitue une partie intégrante de ces recherches.

• L’écologie intersectionnelle : Penser l’écologie au sens profond. Soutenir les personnes minorisées vivant en ruralité (souvent isolé.es de par leur expérience intersectionnelle), et faciliter l’accès à la campagne pour les minorités urbaines (statistiquement privé.es d’accès aux espaces ruraux). Centrer et réfléchir leurs expériences en termes d’interdépendances, d’écosystèmes et du politique.

• La résilience communautaire : Créer des voies résilientes pour les communautés marginalisées en favorisant des réseaux de coopération et de solidarité. Ancrer notre présence et solidifier nos liens avec les membres des communautés marginalisées existantes. Construire des Communs matériels et idéationnels (techniques, outils, pratiques) qui soutiennent des pratiques de vie pérenne et inclusives, en adoptant une approche globale et systémique, qui intègre écologie, inclusion et justice sociale. ainsi qu’une approche locale et spécifique blabla

• L’éducation populaire : Développer des alternatives sociales et écologiques basées sur le trial-and-error et l'éducation populaire. Créer un environnement propice au partage des ressources matérielles, communautaires et intellectuelles. Soutenir l'appropriation des espaces politiques par les personnes minorisées et valoriser les savoirs marginalisés. Inviter des expert.es à partager leurs connaissances pour ainsi créer un cercle vertueux d’empouvoirement via le savoir collectif, et lutter contre les inégalités de savoir.

• La recherche : Mener une recherche active sur l’avenir des populations stigmatisées dans un monde de plus en plus capitaliste et autoritaire. Bâtir des passerelles entre les luttes locales et les mouvements globaux, entre théorie pédagogique et militantisme pratique ; contribuer à la lutte contre les injustices et promouvoir les transformations structurelles. La réflexion continue sur les formes de gouvernance. La prise de décision et le travail au sein même de notre collectif constitue une partie intégrante de ces recherches.

• Chaque mois et tout au long de l’année, nous accueillons des résidences et ateliers sur une semaine ou un week-end. Ces évènements en milieu rural sont conçus par et pour les populations concernées –queers, ruraux et urbains, handiccapé.es, racisé.es, pauvres…– qui viennent vivre, innover et expérimenter des formes de vie durables. Des expert.es marginalisées viennent animer, pour leurs pairs, des ateliers somatiques et de danse, des conférences et ateliers de discussion, des résidences d’écriture ou autour de la parentalité… Ainsi, ces événements représentent des pôles dynamiques pour centrer et amplifier les voix marginalisées. Nous adaptons nos événements aux retours des communautés concernées et des besoins qui émergent dans le contexte contemporain. Nous pratiquons un modèle de prix libre qui inclut l’hébergement, les repas, et parfois les transports.

• Chaque année, nous organisons un festival de création : une vingtaine de personnes sont conviées à créer avec nous, pendant deux semaines, un projet artistique de grande envergure (film, spectacle). Ce moment clé vient renforcer les liens vitaux tissés dans notre collectif et avec l’extérieur depuis le début du projet.

• Nous cultivons des alliances avec les associations et initiatives locales, mais aussi les institutions nationales et internationales. Nous sommes actifs dans les réseaux d’entraide et de partage locaux et nationaux. Open programs  

• Nous entamons une recherche de longue haleine sur l’écologie, sur l’expérimentation d’un accès pérenne à la vie rurale, sur les technologies de soin et les pratiques somatiques, sur la création d’un lien thérapeutique pour des minorités urbaines et rurales dans un contexte plus large mais aussi très local.